Véronique travaille à la campagne dans son atelier jouxtant sa maison, une ferme du XIXe siècle. Celui-ci, éclairé par d’anciennes verrières, est installé dans une dépendance dédiée autrefois à l’élevage de poussins. C’est dans cet environnement paisible les émaux de Véronique sont créés, tournées ou parfois moulées dans des formes lorsqu’il s’agit de plats carrés ou rectangulaires.